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MessageSujet: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 17:26



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Isy


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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 18:38

Teste avec une fiche remplie :



Uesugi



Nom : Uesugi
Prénom : Ogun
Sexe : Homme
Age : 34 ans
Clan : Uesugi
Profession : Daimyo
Armes : Katana, Kusarigama





En tant que descendant d'une grande famille, tout comme les autres Daimyos, Ogun jouit de deux dons : un qui lui est propre ainsi qu'un héréditaire que possède tous les membres de sa famille.
Il peut donc comme ces ancêtres accéder à leur mémoire. Effectivement le clan Uesugi doit son grand savoir à leur grande mémoire et à leur capacité de revivre intérieurement les expériences passées des anciens de la famille. En arrivant dans un lieu nouveau, si un de ses ancêtres y était aussi allé jadis, alors Ogun peut voir tout ce que l'ancien y avait fait et acquérir ses souvenirs en ce lieu. Cela ne prend que quelques secondes pour des personnes extérieures, mais intérieurement il peut voir les souvenirs de plusieurs jours pendant ce cours laps de temps. Il peut arriver aussi qu'il voie se balader des "fantômes" de sa famille, n'étant en fait que des souvenirs qui surgissent montrant une action dans le lieu présent.
Son deuxième don, qui lui est propre, est de pouvoir inspirer une grande confiance à la personne qu'il touche. Il suffit que sa peau entre en contact avec la vôtre pour que vous ayez l'impression de le connaître depuis longtemps et de pouvoir lui accorder une grande confiance. Il peut donc exercer un pouvoir d’auto-persuasion sur n’importe-quelle personne qu'il est en train de toucher, vous donnant l'impression que ce qu'il dit est forcément véridique.





Comme beaucoup de noble de son pays qui font attention à leur physique, Ogun à les traits fins et féminisé. Atteignant la taille d'1m69 il est loin d'être le plus grand de son entourage, mais n'est pas non plus petit. Son corps fin a tout de même réussi à se muscler au fil des entraînements qu'il a dû suivre depuis son enfance pour être à la hauteur de son futur poste de Daimyo.
Le reste de son apparence est typique de sa lignée : il possède des cheveux noirs qu'il laisse pousser  et qui font contraste avec sa peau claire. Mais l'attribut le plus caractéristique qu'il a hérité de ses ancêtres  est sans nul doute ses yeux marron qui peuvent présenter des reflets rouges. Une légende prétend que c'est dans leur yeux que vivrait l'esprit du phénix qu'ils vénèrent.
Il porte quasi constamment une paire de gant en cuir noir, prêtant une grande attention à son physique il ne voudrait pas abîmer ses mains qu'il aime tant, mais surtout, sans que les autres le sachent, pour éviter d'utiliser son don sur des personnes sans le vouloir, en cachant ses mains il évite un contacte directe de sa peau avec celle des autres. Il change souvent de vêtements mais l'ensemble avec lequel il préfère se montrer et son magnifique kimono bleu, le bleu étant la couleur la plus difficile à obtenir dans le milieu du textile, porter cette dernière sur un habit entier est synonyme de grande richesse. Bien qu'il possède une grande panoplie de bijoux de toute sorte, il ne se montre que rarement en public avec, ou du moins pas avec les moins discrets.





Après avoir pris la tête du clan Uesugi, Ogun a gardé la même politique que ces prédécesseurs et semble jouir de la même popularité qu'eux.
En effet les Uesugi sont connus pour avoir toujours œuvré pour le peuple et son confort. Dirigeant l’ensemble d'une main bienveillante et s'assurant que personne ne souffre de la faim. À en écouter le peuple d'Iwami la famille Uesugi est très chaleureuse et dévouée aux autres, aidant quiconque est dans le besoin, aimant même se mélanger au peuple et le contacte avec foule. En effet, il n'est pas rare que de grandes fêtes soient organisées ou les hautes, les moyennes et les basses classes peuvent se rencontrer et échanger. Ogun semble même avoir fait une encore meilleure impression que ses ancêtre en arrivant au pouvoir. En effet, ce chef encore jeune garde toujours un sourire et une attitude chaleureuse et beaucoup sont prêts à lui faire aveuglément confiance sans vraiment savoir pourquoi.
Malgré tout cela, il reste un homme avec ses points faibles, qui semble tout de même être quelqu'un de superficiel et matérialiste quelque peu attirer par l'argent. Effectivement son entourage proche a déjà pu le voir quelque rare fois jubiler devant de grosses sommes d'argent, ou même se parer de ses plus beaux bijoux ornées d'or pour se contempler devant un grand miroir. Il reste quelqu'un de très coquet aimant prendre soin de lui, mais cela peu paraître normal pour quelqu'un de son rang, il faut qu'il fasse une bonne impression devant son peuple. Son côté matérialiste le pousse tout de même parfois à donner des noms aux objets qu'il aime, leur donnant une identité et, de ce fait, une encore plus grande importance. Cette attitude avait inquiété ses parents quand ils ont vu que ce n'était pas un jeu lorsqu'il était petit, puisque plus grand il continuait à donner énormément d'importance à certain de ses objets ou bijoux.





Ogun accède au rang de Daimyo à l'age de 28 ans après la mort de son père. Il sera d'abord épaulé par sa mère qui disparaîtra deux ans plus tard dans de mystérieuses circonstances. L'obligeant à régner seul ce qu'il semble arriver à faire aisément. Il a une grande connaissance du territoire et du commerce puisque plus jeune c'est lui-même qui voyageait pour le compte de son père dans tout Iwami pour y faire les accords commerciaux ou traiter affaires. De ce fait, il est déjà très bien connu dans tout le territoire et aimé de bon nombre de personne, puisqu'il laisse toujours une très bonne impression derrière lui, ayant hérité du grand tempérament chaleureux des Uesugi.

Déjà tout petit il semblait avoir des dispositions pour le commerce et savoir dire ce qu'il fallait pour être écouté. Il eut une enfance des plus heureuse, ne manquant de rien dans ce territoire ou la nourriture y était abondante. Il fut également gâté de nombreux cadeaux fait à son attention par des villageois pour remercier ses parents de leur bienveillance.
Etant aimé de tous, il finit par beaucoup s'aimer lui-même. Faisant de plus en plus attention à son physique il devint au fil des années quelqu'un de très superficiel et qui peut accorder beaucoup d’intérêt à tout ce qui pourrait le mettre en valeur. Malgré cela, ses parents veillèrent toujours à ce qu'il ne soit pas imbu de sa personne et à qu'il ne se sente pas supérieur aux autres, ils ont tout fait pour qu'il garde le trait de caractère familiale c'est-à-dire, de faire passer le bien-être des autres avant son confort personnel. Même si Ogun a quelques défauts, on peut tout de même considérer que ses parents ont réussi à en faire un vrai Uesugi.

C'est donc très vite, à vrai dire à son adolescence, que son père décida d'exploiter ses capacités d'orateur et son sens des affaires. À tout juste 16 ans, Ogun fut envoyé traiter une affaire importante à l'autre bout du territoire, épaulé tout de même par son oncle pour cette première expérience. Cette escapade lui plut énormément et, c'est à ce moment précis qu'il découvrit son grand goût pour les affaires. Il en redemanda encore et devint quelques années plus tard, émissaire officiel du Daimyo son père, après avoir acquis assez d'expérience.
Il parcourra ainsi le territoire avec sa propre escorte pendant plus de huit ans, durant lesquels il a même mené ses propres affaires et fait l'acquisition de divers bien qu'il se réserve pour plus tard. Son père savait qu'Ogun ne faisait pas que le représenter lors de ses voyages et qu'il faisait aussi ses propres accords, mais cela ne le dérangeait pas, et il n'en parla jamais à son fils, estimant qu'il était assez grand pour faire ce qu'il lui semblait juste.

Cela dura donc encore jusqu'à ce qu'il accède au rang de son père, lui laissant moins de temps pour ses voyages il tient tout de même encore à se déplacer lui-même pour beaucoup d'activités ou d’événements. Ayant agrandi le champ des commerces de son territoire il a multiplié les affaires et a fait prospérer Iwami comme jamais.
Il est maintenant Daimyo depuis six ans et a pour l'instant réussi à maintenir une économie plus que stable pour ses territoires et, est respecté et aimé de son peuple. La suite, c'est l'histoire qui nous le dira...




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Isy


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Fiche non-customisée Fugiwara :



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Fiche non-customisée Miyamoto :

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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 19:12

Fiche non-customisée Uesugi :



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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 19:18

Fiche non-customisée Clan Etat :



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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 19:28

Fiche customisée Rukina :



Miyamoto



Nom : Miyamoto
Prénom : Rukina
Sexe : Féminin
Age : 23 ans
Clan : Miyamoto
Profession : Daimyo, leadeuse des Miyamoto
Armes : Naginata & Katana





Mystic Tatoo : Rukina a un don peu commun. Elle a la capacité de donner vie à tout encre déposé sur sa peau. Tout dessin représentés sur son corps peut être matérialiser et/ou prendre vie. Ses émotions jouent un grand rôle dedans. Cela affecte le résultat final. En effet, si Rukina est de bonne humeur elle contrôlera le résultat final et fera apparaître les choses comme elles se présentent sur son corps. En revanche, si elle est dans un jour maussade, les choses apparaitront de même, donnant des formes biscornus voir cauchemardesques. Cela fonctionne également sous les autres émotions : confuse, apeurée, amoureuse etc...

Mystic Eyes : Comme tout les Daimyos, Rukina possède un don héréditaire. Tout l'opposé de son ancêtre Ieyasu avec ses "yeux de la mort", la Miyamoto elle, a le don appelé "Mystic Eyes" qui a la capacité d'annuler toutes techniques lorsqu'elle regarde une personne dans les yeux. Ce don est passif et n'a pas besoin d'être activé.
NB : Don inutilisable en rp combat.





Rukina est une jeune femme japonaise de corpulence svelte et androgyne. Mesurant un mètre soixante trois pour une cinquantaine de kilos, elle se situe dans la moyenne des femmes de son âge. Sa peau blanche satinée, dégage une odeur de parfum de pruniers blancs apaisant. Ses traits sont fins et efféminés, donnant une première image non déplaisante au regard.
Elle a un visage ovale à la limite de la rondeur. Sur celui-ci, nous pouvons percevoir un nez fin et pointu ainsi que des yeux légèrement étirés, plutôt de forme amende et de couleur Lilas, même parfois gris clairs... on n'est pas totalement sûr de leurs véritables couleurs étant donné qu'ils donnent l'impression d'y changer constamment à chaque fois que l'on y dépose son attention. C'est un de ses atouts de charme et cela lui donne un regard assez envouteur. Sa bouche est pulpeuse et rosée, donnant un effet mordu continuellement.
Etant la leader des Miyamoto, Rukina se doit de donner une bonne image d'elle. C'est pourquoi, elle n'hésite pas à prendre soin de son corps et à se mettre en valeur. Ses longs cheveux d'un noir de jais aux reflets argentés, parfois lisses, parfois ondulés, sont toujours bien peignés. Il arrive qu'ils s'éclaircissent ou s'assombrissent en fonction des saisons et de la lumière. Vous ne la verrez jamais les cheveux attachés. Mis à part pour les grandes occasions. Cela lui donne une apparence rebelle, sauvage et même stricte, qu'elle cherche à mettre en avant tout en gardant son côté féminin. Vous comprendrez qu'à la tête d'une armée constituée principalement d'hommes et qui plus est, des guerriers, le moindre signe de faiblesse peut être problématique d'un point de vue hiérarchique. La jeune guerrière n'hésite pas à se maquiller par moment et à se mettre de l'essence de fleurs de différents arbres.
Côté vestimentaire, la descendante des Miyamoto porte différents vêtements en fonction des événements. A Hakune, vous la verrez avec principalement un hakama et un tissu de soie lui servant de haut. La jeune femme adopte ce style décontracté car elle s'y sent tout simplement à l'aise à la fois dans sa vie quotidienne ainsi que ses entrainements. Son côté un peu garçon manqué. Elle a principalement vécue avec des hommes, se qui a influencé ses préférences d'un point de vue vestimentaire.
Lors de cérémonies sérieuses ou festives, Rukina privilégie les kimonos ainsi que les vêtements plus traditionnels. Enfin, lors de ses divers déplacements sur l'ensemble du Japon et surtout lors des batailles, elle arbore avec fierté son armure et son kimono dorés et rouge pourpre, couleurs de sa famille depuis des générations.
En société, Rukina préfère porter des vêtements longs, cachant le plus de peau possible afin de ne pas dévoiler les innombrables tatouages lui recouvrant des parties de son corps. Ce sont des tatouages à l'encre de Chine qu'elle s'amuse à dessiner et à retirer à son gré.
Lors de ses déplacements, c'est bien entendu tout l'inverse, elle les laisse exposer, ne sait on jamais sur qui nous pouvons tomber...





Miyamoto Rukina est une jeune femme chaleureuse et pure. Elle cherchera toujours à venir en aide aux personnes qui en ont besoin et n'hésitera pas à punir l'injustice.
Etant la leadeuse d'un clan constitué principalement d'hommes et ayant grandie au milieux d'eux, elle a adopté un caractère fort et sait se montrer stricte lorsque cela s'avère nécessaire.
Durant ses longues années de formation au sein du clan, la jeune femme a su se constituer une carapace afin de ne pas craquer par moment. Ce qui peut laisser parfois prétendre qu'elle n'a pas d'émotions, ou donner une image mystérieuse de sa personne. Elle le sait et elle en joue.
Stratégique, Rukina sait mener ses hommes et prendre les décisions importantes. Mais il faut avouer qu'elle est encore maladroite sur ce point, c'est pourquoi elle n'hésite pas à faire appel à ses conseillers et ses généraux.
Pragmatique et charismatique, elle sait s'adapter à d'innombrables situations et arriver à atteindre ses objectifs soigneusement préalablement fixés.
De nature assez réservée, elle ne se dévoilera que très rarement lors d'une première rencontre. Très observatrice, elle étudiera avec attention ses interlocuteurs ainsi que ses ennemis avant de s'avancer, de s'exprimer et/ou de combattre.





Miyamoto Ieyasu était le descendant du clan Miyamoto, un clan très réputé pour leurs guerriers samouraïs et leur détermination lors des combats. Il fût nommé dirigeant du clan très jeune et entraîna ses troupes dans de nombreuses batailles. Son charisme ainsi que sa stratégie étaient ses compétences clefs qui lui permirent de remporter l'ensemble de ses batailles effectuées. Tous pensèrent cela, mais Ieyasu avait quelque chose de particuliers... c'était son don. Un don rare et unique appelé par beaucoup : Les yeux de la mort. Une capacité interdite qui permet de contrôler les esprits des adversaires en les regardant dans les yeux pour les pousser à se suicider. Un don héréditaire que le guerrier n'hésitait pas à utiliser pour arriver à ses fins.
C'est cela qui lui permit de remporter cette fameuse bataille, la bataille Sekigahara en l'an 1600 et en l'espace d'une journée, alors qu'il n'avait qu'une vingtaine d'années. A la suite de cela, l'empereur du Japon, admiratif face à tant de victoires, lui attitra le rang de Shôgun afin d'instaurer un équilibre de paix et ainsi, maîtriser le reste des Daimyo.
C'est donc en 1601 que Miyamoto Ieyasu devient le Shôgun du Japon. En échange, il signa un pacte avec l'empereur lui-même, lui interdisant d'utiliser son don. En effet, "les yeux de la mort" étaient beaucoup trop dangereux et l'empereur prit peur qu'Ieyasu l'utilise à des fins personnels, où sous le coup de la colère et l'emprise du pouvoir.

Durant tout son règne, Miyamoto Ieyasu instaura une hiérarchie stricte inspirée du bushidô. Il créa une police secrète, appeler les "Metsuke" afin de contrôler ce qui se passait au sein d'Edo. Sous les ordres du Metsuke, le Shôgun pouvait gérer les ninjas et ainsi, se débarrasser des personnes à soupçon. Le shôgun mit en place des accords commerciaux avec l'ensemble des clans du pays. Il était apprécié d'eux, même si beaucoup ne l'aimait pas. Les Uesugi était une famille beaucoup demandée par Ieyasu. Il était très proche du Daimyo, Togoro, avec qui il prenait souvent le thé.
De-même, Ieyasu échangeait énormément avec le clan Hôjô. Un clan reculé de tous dû à leur position géographique sur les îles Yamato, mais qui répondait toujours présent lorsqu'on avait besoin d'eux. Le shôgun a gagné pas mal de combats grâce à eux et à leurs samouraïs.
Le dirigeant d'Edo échangeait beaucoup avec le clan Ota également. Très religieux, il se rendait souvent à Tosa, priait ainsi que pour échanger sur son dieu : Ryu.
En 1610, après presque une décennie de règne, le clan Fujiwara attaqua Edo avec l'aide d'autres clans états. Fujiwara Kojiro était à leur tête avec son fils. Ieyasu l'avait pressentie depuis longtemps. Les Fujiwara étaient réputés pour leur perversité et leur jalousie. Il savait qu'ils ne désiraient qu'une chose : le pouvoir. Ce fût un coup d'Etat violent, coûtant la vie de milliers de personnes, militaires, civils et religieux compris. Ce n'est qu'arrivé face au shôgun, qu'on appelait "le Ryu" que Kojiro compris que le combat ne serait pas loyal. Il s'en moquait complètement.
Après s'être assuré que sa famille intime soit mise à l'abri, Miyamoto Ieyasu acceptait la fin de son règne. Il se redressa fièrement et attendit son verdict. Le pacte qu'il avait scellé avec l'empereur l'empêchait d'utiliser son don et donc de combattre. Le duel ne dura pas longtemps et Kojiro trancha la tête du Shôgun actuel d'un geste de katana bien placé. Il attrapa celle-ci, s'avança vers le balcon donnant une vue dégagée et la brandit en hurlant...
La femme de Miyamoto Ieyasu a pu s'échapper avec une poignée de Miyamoto grâce aux Hôjô. Le général avait pris des précautions et avait préparé une armée en plus, "au cas où". Il emmena la poignée de survivant au Sud du pays, le plus loin possible de toute cette violence et agitation. Il ne fallait pas que les Fujiwara les trouve. Il les emmena à Hakune, un petit village encore peu peuplé et les confia à Cho, l'ancien. La mère était enceinte et mit au monde une fille avant de rendre l'âme, blessée et fatiguée par le voyage. C'est à partir de là que les Miyamoto trouvèrent un nouvel endroit et commencèrent à se reconstruire...
---
Miyamoto Rukina naquit en 1647 dans le petit village d'Hakune. Elle ne connut pas la guerre, ni sa mère qui mourut à la suite d'une maladie lorsqu'elle n'était âgée que de trois ans. Elle fût élevée par Osugi ainsi que Cho, les deux anciens du village. C'est d'ailleurs ces derniers qui avaient choisi son prénom. Ils voulaient un prénom peu commun pour une personne qui était destinée à faire de grandes choses.
Durant ces années d'enfance, Rukina fût élevée dans la pure des traditions japonaise. Une formation à la fois féminine que masculine. Elle devait être parfaite lorsque le moment serait venu de la marier, tout comme elle se devait d'être à la hauteur lorsque le moment d'accéder au poste de Daimyo viendrait.
Lorsqu'elle était encore petite fille, le général Hôjô faisait souvent le voyage entre les îles Yamato et le village d'Hakune pour venir lui rendre visite. Il était même venu une fois avec un jeune garçon, à peine plus âgé qu'elle. Ils jouaient souvent ensemble pendant que le général Hôjô échangeait avec les anciens du village.
Les années passèrent et Rukina grandit, jusqu'à atteindre ses seize ans, l'âge adulte de cette époque. L'âge où l'on peut comprendre facilement les choses et que nous sommes apte à agir. Osugi et Cho l'épaulèrent et lui expliquèrent les responsabilités qu'un Daimyo avaient, mais surtout, la véritable histoire des Miyamoto ainsi que le coup d'état des Fujiwara. Rukina fût formée aux maniements du katana ainsi que de la naginata. Son maître d'armes lui dégotait justement un talent inné sur cette dernière arme, plus simple à manipuler pour une femme.

Quelques années s'écoulèrent et Rukina prenait plus confiance en elle. Elle s'affirmait, devenait de plus en plus stratégique. Lorsqu'une troupe de samouraï partaient en excursion, elle répondait présente pour les accompagner. Elle était en première ligne partout il le fallait. Elle venait en aide aux gens les plus démunies et proposait ses services de mercenaires en échange d'argent et de propagande.
C'est à l'âge de vingt ans qu'elle accéda au titre de Daimyo. Les anciens continuèrent de l'épauler et continuent toujours actuellement. L'héritière des Miyamoto était ouverte sur tout. Elle se promenait dans le village pour aller à la rencontre du peuple et s'intéressait à tout métier possible.
A l'âge de vingt-trois ans à présent, Miyamoto Rukina est devenue une Daimyo digne d'une Miyamoto. Son clan voit en elle l'élue qui a été choisi pour reprendre ce qui a été arraché. Pour cela, la recherche d'alliés est toujours d'actualité. Les anciens ont programmé un mariage avec le petit fils de l'ancien dirigeant des Hôjô afin d'agrandir leur troupe. Il faut à présent organiser les préparatifs et se diriger vers les îles Yamato.




Partie HRP
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Isy


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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 19:40

Fiche customisée Aizen :



Fujiwara




Nom : Fujiwara
Prénom : Aizen
Sexe : homme
Age : 36 ans
Clan : Fujiwara
Profession : Shogun
Armes : Katana, wakisashi
Nom du katana : Tsurugi hinan' ( L'épée de la condamnation )





Aizen descend d'une grande et puissante famille. Chaque personne appartenant à cette lignée obtient un don unique en son genre. D'ailleurs plus le don d'une personne est puissant, plus il montera dans la hiérarchie familiale. Notre protagoniste a un don de la vue et rare sont ceux qui possèdent une capacité du même type. En effet, le regard d'Aizen permet d'avoir une vue à 360° dès qu'il l'active. Cela lui est très utile, car il peut l'utiliser autant en tant que défense afin de voir ce qu'il se passe autour de lui, mais il peut aussi l'utiliser comme capacité offensive pour prévoir une attaque.
Certes, cette vision lui permet une très bonne défense, mais plus le temps d'activation sera long, plus son champ de vision se réduira pour redevenir normal. Lorsque cela arrive, Aizen devient aveugle pendant quelques secondes ce qui le rend vulnérable. Heureusement pour lui, il connaît ses limites et fait en sorte que cette cécité ne lui arrive jamais en plein combat.

Le second don qu'il possède est plus simple. En effet, il a une capacité lui permettant de créer un bouclier autour de lui comme une seconde peau. Il ne peut cependant pas l'utiliser en plein combat. D'ailleurs, il ne peut pas en user indéfiniment, trente minutes est le temps maximum de cette protection qui faiblit toutes les cinq minutes.





Fujiwara Aizen est malgré ses apparences androgynes, un homme âgé de trente-six ans. Cet adulte est dans la fleur de l'âge en terme de maturité physique. Il est d'une corpulence plutôt athlétique et élancée. L'homme mesurant un mètre quatre-vingts, montre une image fière qui peut être considérée par certaines personnes comme du mépris pour les autres samuraï. Ils ne sont pas dans le vrai, mais ils n'ont pas tout à fait tort non plus, car en effet, Aizen, par orgueil ne baissera pas les yeux facilement.
Voilà ce qui le caractérise lorsque l'on peut le voir au premier abord, ce qui rend le peuple se trouvant face à lui méfiant et sur leurs gardes. Une posture droite et fière imposant le respect d'autrui grâce aux longues jambes qui le supportent aux fil des jours. Elles lui permettent de se déplacer rapidement comparé à d'autres samuraï et ainsi rattraper tout fuyards lors d'un combat.

Attardons-nous un peu son torse. Ce dernier n'ayant que peu de muscle, son torse est plutôt bien dessiné malgré les multiples cicatrices qui parcourent ses côtes ainsi que son abdomen, un signe que notre protagoniste n'a pas peur d'entrer dans de sanglantes batailles qui peuvent être fatales pour les hommes les moins entraînés. Précisons que ces cicatrices, acquises malgré lui lors de combats pour sa vie, attisent la curiosité et l'excitation de la gente féminine dont il n'a que faire mais aussi le respect de ses soldats.
Son visage ne reflète absolument pas la personnalité de cet homme tourmenté. Ses traits graciles ne laissent pas transparaitre au premier abord la souffrance confinée au plus profond de son âme, on y voit une sorte d'esprit tourmenté au "visage d'ange". Ses yeux d'une couleur ambre sont très envoûtants et fait d'eux un atout non-négligeable ajoutant un charisme primant sur celui des autres dignitaires.

D'autre part, on peut remarquer qu'il possède entre les paupières et les sourcils une coloration magenta qui lui rajoute un charme déconcertant, mais qui lui donne aussi un air plus sévère. Deux tatouages de la même nature se positionnent des oreilles aux joues, de chaque côté du visage et possédent cette même couleur magenta. Une des particularités d'Aizen  sont ses oreilles pointues. La chose la plus remarquable chez lui n'est autre que la marque qu'il porte au niveau du front, un tatouage qu'il se fit faire lors de la création d'une rumeur. Celui-ci prend la forrme de la dernière phase du cycle lunaire et sa couleur est celle du bleu de la plus obscure des nuits.
Vue de derrière, une blancheur argentée dans son dos se laissant descendre telle une cascade jusqu'au bats de son postérieur. Cette dernière n'est autres que ses longs cheveux lisses et soignés dont l'effet soyeux et léger se confirme lorsque le vent vient à souffler dedans leurs permettant de virevolter à leurs grés.

Passons enfin à sa tenue traditionnelle du Japon de l'ère Sengoku nommée Sashinuki Hakama. Elle est composée : d'un kimono de soie blanche et arborant des motifs en forme de fleurs de cerisiers, rouges, à hauteur du col, d'un pantalon de la même matière et de la même teinte rendant le tout très harmonieux. Un habit seyant, élégant, mais surtout très distingué. Le côté ample de ce kimono permet une aisance des mouvements très utile lors des combats. Une épaulière bleutée bardée de pointes protège son épaule gauche tandis qu'une écharpe blanc cassé recouvre l'autre. Tout cet ensemble se termine par des bottes noires en cuir que seules certains privilégiés peuvent se vanter de posséder.





La froideur de l'âme d'Aizen, par son manque total de compassion vis-à-vis de ses pairs n'ont d'égal que le poids des atrocités de son passé. Le jeune homme est un être que l'on peut qualifier de distant lorsque l'on évoque le plan des relations humaines, mais il ne méprise pas pour autant les gens dès le premier regard. En effet, il est dépourvu de sentiments envers les personnes qui ne représentent aucun intérêt pour lui ce qui peut être qualifié comme de dédain.
Oui, le nouveau shogun n'hésite pas à choisir ses alliés en fonction de ses intérêts, mais ce n'est pas pour autant qu'il trahira l'alliance créée tant que l'enjeu lui conviendra. Il sera loyal jusqu'au jour où cet accord lui déplaira et ce n'est qu'à ce moment-là qu'il rompra tout lien au dépens du partenaire.
Son apparence rigide force un certain respect, de par la prestance et le charisme qui émane de cet homme.

Aizen est vraiment sans scrupule, si bien que les rares hommes l'ayant côtoyé de près le prennent pour quelqu'un au cœur froid. On dit également de lui qu'il incarne l'élégance et qu' il fait en sorte qu'aucune de ses pensées ne soit devinée. Il est également très confiant, car il connaît ses capacités et maîtrise son don à la perfection. Plutôt imbu de sa personne, il a tendance à se vanter sur sa force, mais en revanche, il ne parlera jamais de ces exploits de guerre d'où son côté réservé. D'ailleurs, il est bien trop orgueilleux pour montrer qu'il se soucie sincèrement de quelqu'un et n'hésitera pas à parler de manière froide à cette personne, même si elle compte pour lui. C'est un personnage très fier de lui, qui n'acceptera aucunement que l'on entache sa réputation. Toujours d'un calme déconcertant, la colère ne l'enflamme pas, mais le fait paraître au contraire glacial, ce qui donne l'impression que jamais la rage ne vient en lui. Mais rien n'est plus faux, car si un homme venait à le provoquer, une vague haineuse s'abattrait sur lui, mais cela reste occasionnel.

Un recul étonnant lui fait prendre des décisions réfléchies et le pousse à être toujours le plus vigilant possible sur les accords. En somme, des choix arbitraires sont la clé de ces jugements et de ces décisions.




Kojiro Fujiwara décida de monter un coup d'état pour remplacer le Shogun et ainsi prendre la tête du pays. Il y parvint en réunissant plusieurs familles à sa cause. L'ordre d'attaque avait été donné et tous se ruèrent sur la demeure des dirigeants de la famille Miyamoto. En à peine quelques jours de bataille, Kojiro accompagné par son fils, mirent à bas la grande famille Miyamoto et s'installèrent à Edo. Les richesses de ces terres étaient nombreuses et le point stratégique était des plus adéquats pour conquérir d'autres territoires.

Tout commença par une nuit pluvieuse et venteuse, le tumulte extérieur résonnant dans toute la grande demeure Fujiwara. Dans ce bruit, un cri se rajoutait, le cri d'un nourrisson venant de naître. Les parents, fiers de ce petit homme le nommèrent Aizen. Ce nom était synonyme de force et vouait l'enfant à accomplir de grandes choses.

Pendant de nombreuses années, Aizen fut entraîné par son père à l'art du combat au katana, mais pas seulement. L'enseignement des armes était une partie prenante dans cette grande famille du Japon, car les Fujiwara étaient réputés comme de très grands guerriers, cultivant la soif de puissance et de batailles. Un membre n'ayant aucune aptitude à l'art du katana ou même du corps-à-corps serait considéré comme inférieur et n'aurait alors aucune valeur.
Aizen était un enfant très discipliné. En effet, il écoutait toujours son père et faisait preuve d'une dextérité surprenante pour un enfant âgé d'à peine douze ans. Ce jeune garçon, issu des deux dirigeants, était promis à un avenir grandiose d'après sa mère. Son maniement de la lame surprenait même les plus anciens samuraï qui pouvaient l'apercevoir s'entraîner dans le jardin.

À cause de ces perpétuels entraînements pendant des jours entiers, ce jeune garçon ne sortait que très peu et ne connaissait pas vraiment sa ville natale. C'est un jour, lorsque son mentor partit pour quelques jours qu'il en profita pour s'éclipser et vagabonder dans les rues. Voir Edo dans ses recoins, les marchands, les gens étaient simplement ce qu'il cherchait, rien de plus. Cependant, un groupe d'adolescent mal intentionné l'avaient repéré et voulait le dépouiller de ses affaires. Au coin d'une rue, Aizen se retrouva devant deux jeunes hommes plus âgés que lui et trois dans son dos. À leur façon de le regarder, le jeunot savait que ces garçons ne lui voulaient pas que du bien.

Par un heureux hasard, un long morceau de bambou se trouvait sur le sol et il s'en saisit sans attendre de menace. Évidemment, tous ceux petit monde se moquait de lui en voyant cette scène ridicule à leurs yeux. Aizen lança son attaque en premier frappant l'un des cinq dans un bruit violent et sourd. Un second, l'attrapa lui faisant lâcher son arme de fortune. Les autres de cette bande arrivaient énervés de s'être fait balader par un morveux. L'un d'eux le frappa dans le ventre et enchaîna par un coup violent dans l'épaule. La douleur était bien présente et le faisait intensément souffrir. Il fallait qu'il se dégage de cette situation ou il allait se faire détruire, voire même être laissé pour mort dans cette étroite ruelle. Étonnement et sans prévenir, il voyait celui qui le tenait alors qu'il se trouvait dans son dos. Le jeune Fujiwara ne comprenait pas trop, au fur et à mesure que les secondes passaient, la clairvoyance s'accentua de plus en plus, si bien qu'il visualisait les moindres détails qui l'entouraient. Après une dizaine de secondes, Aizen pouvait scruter absolument tout ce qui se trouvait autour de lui. La rue où il se trouvait n'avait plus aucun secret pour lui, il pouvait observer où se trouvaient ses agresseurs et, de ce fait, la possibilité de parer les coups à venir était nettement plus aisée.

Un pied se lança derrière lui en direction de ses côtes une fois de plus, mais cette fois-ci, il esquiva le coup. Il espérait que l'impact touche son oppresseur dans le dos afin qu'il le lâche. Par chance, ce petit stratagème fonctionna et Aizen se rua sur le bambou. Le combat allait tourner court, il le savait, il le sentait. Il se lança à corps perdu dans cette confrontation désavantagée, mais pour qui ? En effet, les adolescents avaient beau être cinq, leur seul opposant pouvait esquiver le moindre coup tout en frappant sans peine. Au bout de quelques secondes ou minutes, Aizen se trouvait seul dans la rue, les autres étendus à même le sol, inerte. En rentrant chez lui, il ne comprenait toujours pas ce qu'il venait de se passer et malgré sa sortie en douce, il devrait en parler à son père.

Le temps passa et la discussion avec son père fut faite. Lui avouant que chaque personne développait un don unique, ceux des membres de la famille Fujiwara étaient d'une puissance assez élevée. Aizen nomma sa vision : Dōsatsuryoku. L'adolescent âgé de dix-huit ans développa alors une soif de puissance à l'encontre de son père.
En effet, il était avide de bataille, de sang et du fracas des lames l'une contre l'autre, si bien qu'il décida de créer un ordre secret. L'ordre des Bishamonten. Cette nouvelle croyance, qu'il cacha même à sa famille, demeura secrète et seuls les hommes aspirant au pouvoir et à l'extension du royaume pouvaient en faire partie. Le protagoniste commença à chercher des adhérents afin d'augmenter sa puissance et remplacer les croyances instaurées.

Après sa cinquième années, le futur héritier du trône Fujiwara et du titre de "Shogun" mena de nombreuses batailles. Il avait une petite armée d'une efficacité redoutable. Ces hommes étaient, pour la plupart, de fines lames entrainées par Aizen lui-même. Lors d'une reconnaissance de terrain, le petit groupe se vit encerclé par une armée de mercenaires. Ils étaient plus nombreux de quelques hommes, mais surtout, ces mercenaires possédaient des archers soigneusement postés pour une embuscade. Le leader Fujiwara lança l'assaut dans le tas d'homme lui faisant face sans même se préoccuper des conséquences. La résonnance des lames qui s'entrechoquaient, les cris des hommes, les giclées de sang sur le sol et les arbres se faisaient sûrement entendre partout dans les alentours. Au bout de longues minutes interminables, le chef, Fujiwara Aizen, était encore debout tandis que les mercenaires gisaient au sol sans mouvement. Les pertes ennemies étaient totales, mais pour le groupe de samuraï, seul trois étaient restés debout meurtris de nombreuses balafres et entailles plus ou moins profondes.

Les quatre survivants retournèrent rapidement à la forteresse d'Edo craignant une nouvelle attaque. Aizen était fier de son don. Grâce à cela, il avait pu éviter la mort une nouvelle fois, si bien que les samuraï restant commençaient à croire que cet homme était possédé par quelque chose d'inhumain. Les rumeurs commencèrent à fuser dans la ville d'Edo si bien qu'au fur et à mesure, la simple rumeur d'homme extraordinnaire se transforma en celle d'un homme démoniaque. Là était sa chance de se faire une réputation et de concrétiser cette voix parmi les hommes. Aizen alla voir un tatoueur et entama sa transformation. Il commença par se faire tatouer un croissant de lune sur le front de couleur bleu nuit. Il ne s'arrêta pas là, et en ajouta huit de plus. Des traces magentas sur les joues remontant aux oreilles et les mêmes sur les poignets. Pour finir cette transformation, il consulta un médecin pour une modification physique, chose très rare. Son objectif était de faire en sorte que ses oreilles ne soient plus arrondi comme le commun des mortels, mais qu'elles se terminent en pointe afin d'avoir l'air d'un véritable démon. Il fallut trois jours d'opération pour arriver au résultat escompté. La rumeur devint la réalité.

Quelques années après, Aizen prit le pouvoir suite au décès de son père et devint Shogun à son tour. Le régime mis en place sous son règne était tout autre comparé au précédent. Une politique totalitaire de terreur s'était mise en place et n'avait pour seul maître, Aizen-sama. Il décida de laisser les croyances de Nuregami, le dieu des flots sous le signe du serpent, mais en secret l'ordre qu'il avait créé deviendrait la véritable croyance des hauts dignitaires.


Désormais, son objectif se déploya vers les terres du Japon afin d'étendre son pouvoir et son influence sur les autres clans.




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Isy


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Fiche customisée Tokimune :



Yamaoka



Nom : Yamaoka
Prénom : Tokimune
Sexe : homme
Age : 27 ans
Clan : Hôjô
Profession : Officier samurai
Armes : Arquebuse et Katana





Il n'y a pas plus honorable pour le samurai de mourir l'épée à la main. La caste guerrière du Japon avait toujours privilégié l'usage du katana pour les combats et beaucoup de guerriers étaient rentrés dans l'Histoire avec leurs aptitudes aux corps à corps. La période du Sengoku avait vu passer de nombreux combattants dont les katanas avaient donnés la gloire à leurs maitres. Cependant, une nouvelle arme plus moderne fit son entrée dans le champ de bataille : l'arquebuse. Une arme sans honneur, mais terriblement efficace et qui avait à plusieurs occasions basculée l'art de la guerre comme à la bataille de Nagashino. Oda Nobunaga alignait trois mille arquebusiers contre la terrible et puissante cavalerie des Takeda. Le résultat fut une hécatombe pour le clan Takeda, plus de dix mille morts dont 28 généraux Takeda. Cette arme tuait sans distinction, tuant aussi bien les ashigarus que les samurais et les nobles.

Cette arme apportait aucun honneur pour le samurai et c'était au ashigarus de manier cette arme destructrice. Pourtant, certains guerriers voyaient en cette arme du potentiel. La plupart des samurais l'utilisant étaient peu connus, mais d'autre c'étaient fait connaître pour leurs qualités de tireurs d'élites. C'était le cas du jeune Yamaoka Tokimune et de son don qui rendait son utilisation de l'arquebuse redoutable. Bien que possédant un seul œil, le jeune officier à une vue qui lui permet de voir à des distances effarantes et ainsi qu'une visée qui rend ses tirs mortels. Sa vue le trompe jamais, mais le trahis sur un point. Une fois que Yamaoka se concentre sur une cible, sont champ de vision se renferme, passant de cent soixante degré (Pas cent quatre vingt, il est borgne) de trois à cinq degré. Il ne verra plus que sa cible et le viseur de son arme à feu, mais sera incapable de prévoir ce qui arrivera à sa gauche ou à sa droite.





Yamaoka est assez grand et maigre, un mètre quatre-vingt quatre pour soixante-quinze kilos. La première chose qui frappe lors d'une première rencontre est son œil droit manquant, il faut dire que l'on ne voit pas tout les jours des borgnes. Malgré ce problème, il reste plaisant à regarder au visage. Il possède des cheveux mi long de couleurs bruns et l'iris de l'œil vert.

Le vert est justement sa couleur préférée, vous le verré toujours avec du tissu vert, que se soit en armure ou sous un autre vêtement. Il possède une armure de samurai assez semblable aux autres, sans compter la longue courbe sur son Kabuto (casque).





Yamaoka est quelqu'un dont la loyauté et son sens du devoir est très rarement remis en question, agissant selon la volonté de ses seigneurs et toujours présent lorsque on à besoin de lui avec une grande bravoure. Fidèle en amitié et d'une grande camaraderie, il est facile de devenir ami avec ce jeune homme. C'est également un jeune samurai plein de qualité, gentil et généreux.

Il possède également un sens de l'honneur qui lui est très propre. Il supporte guère de voir les gens en difficulté ou d'une triste mine et se doit très souvent d'intervenir. Il aide ceux qui sont dans le besoin d'une manière très chevaleresque, demandant rien en retour. Effectivement, le jeune homme n'a pas beaucoup d'ambition et est même très satisfait de ses conditions de vie.

Il aime comme le clan Hôjô la guerre et accompagna le chef de clan sur tous les fronts, mais il donne guère attention aux samurais lui disant que son utilisation de l'arquebuse est déshonorant. Pour lui, la victoire lave tout déshonneur, quelque soit la façon qu'elle a été obtenu.





Yamaoka Tokimune est le fils d'un samurai peu connu, travaillant pour le compte des Hôjô. Né en 1653, sur les iles Yamato, le père du nouveau né avait enfin obtenu un garçon. En effet, le jeune Tokimune fait partie d'une grande fratrie et est le seul garçon parmi ses huit sœurs. Il fallait croire que le père du future samurai allait se charger grandement de son éducation et qu'il en prendrait soin, de peur de le perdre ou qu'il y ai défaut dans ses apprentissages. Malgré tout, l'éducation fut brutal et souvent dure, comme la majorité des éducations des futures samurais. Le père voulait endurcir son unique garçon au maximum, tout en l'éloignant de sa mère et de ses nombreuses sœurs. Il voulait éloigner son fils de toutes peurs et lui faire rentrer dans la tête le sens de l'honneur des samurais. Pour cette éducation à la dure, l'enfant ne pardonna pas son père pour toutes ces leçons qu'il percevait injustes et trop difficiles à vivre. Pourtant, la vie suivit son cours et le jeune Tokimune grandissait au fil du temps qui passait.

A l'âge de quatorze ans, le jeune homme était fatigué de cette éducation que lui transmettait son père et ne tardait pas à le lui faire comprendre. Il disait qu'il avait assez reçus et réclamait qu'il voulait se mettre à l'épreuve rapidement. Sur ce coup de colère, le père du jeune garçon fut content de voir son unique fils prendre les devants. Bien sur, il l'avait punit pour cette petite rébellion, mais il lui avait assuré que très bientôt il pourra se prouver lui même. Le jeune Tokimune sera les dents et continuait son éducation avec son père.

Trois longues années ont passé et le samurai considérait son jeune fils de dix sept ans prêt à se prendre en main. Il le laissait un peu plus tranquille de jours en jours, le laissant voir sa mère et ses sœurs plus librement. C'était à ce moment que le jeune homme commençait à se faire une idée de la vie qu'il allait vivre. Il préféra suivre son père et servir le clan des Hôjô, mais il se forgea un caractère qui lui permit de se faire apprécier par beaucoup. Généreux, gentil, patient, noble, bon camarade et brave, le jeune homme se faisait une place parmi les autres jeunes samurais au plus grand bonheur de son père.

Bien sur, Tokimune attendait avec impatience son entrée dans la guerre et avec le clan des Hôjô, il était plus que sur d'en vivre plus d'une. C'était malheureusement sans compter son père, craignant que son unique fils meurt avant lui. Il demanda aux officiers de placer son fils sur des postes loin des premières lignes. Encore une erreur que le jeune homme pardonnerait difficilement à son père, l'accusant de l'empêcher de se battre. Ce dernier lui expliqua qu'il voulait que Tokimune voit et comprenne comment fonctionne la guerre, avant qu'il se lance dans des mêlées sanglantes.

Ayant mal reçus les intentions de son père, le jeune homme fut envoyé en charge du ravitaillement, la ou il pouvait observer les affrontements de loin. Pourtant, les officiers devaient gérés sa colère envers cette décision et ils avaient beaucoup de mal à garder en réserve ses envies du combat. Heureusement, le jeune homme se savait faire patient et accepta au bout quelques semaines ses conditions. Il observa de loin, avec des petites troupes transportant du matériels, les champs de bataille. Son don qui lui permettait d'améliorer sa vue, lui donnait l'avantage de voir en détail comment une bataille se déroulait.

Les années passèrent et à l'âge de vingt-cinq ans, la situation n'évoluait pas de beaucoup pour le jeune samurai. Son père jouait de sa patience et Tokimune attendait le moment venu ou il croiserait enfin le fer. Les missions de ravitaillement devenaient monotones, mais efficace et rapide car le jeune garçon se révélait être un excellent organisateur. Content de son travail, ses supérieurs avaient décidé de lui donner sa propre unité à diriger. Une poignée d'homme et de chevaux, seulement bon à transporter du matériel.
Un jour, la vie militaire de Tokimune bascula. Les lignes de ravitaillement étaient bien trop souvent la cible de petites escarmouches, visant à prendre ou à détruire le matériel de l'adversaire. En une journée ensoleillé et au milieux d'une forêt, le groupe du jeune samurai fut pris dans une embuscade. Les non-militaires fuyaient pour leurs vies, mais les samurais dégainaient leurs armes pour le combat. Enfin, il allait pouvoir sortir son katana pour une bonne raison, mais sous une embuscade, les chances de réussite était moindre.
Totalement dépasser en nombre, le petit groupe de samurai du clan Hôjô se battaient avec férocité dans un combat ou aucun ne survivrait. Dans ce baroud d'honneur, le jeune Tokimune comprit qu'il n'allait pas s'en sortir avec ses quelques samurais qui faisaient barrage de leurs corps, protégeant ainsi leur officier. Cherchant une solution désespérément, il profita d'un moment de répit pour prendre quelques armes dans le matériel destiné à l'armée des hôjô. Parmi les Yaris et les flèches, le jeune officier fit la découverte d'une arme moderne, une arquebuse déjà prête d'utilisation. Une arme peu utilisé par les samurais, mais l'homme voyait peut être leurs salut. Le répit s'acheva avec une nouvelle attaque de l'ennemi qui voulait vraiment le matériel, Tokimune se tourna vers les opposants et mis un genou à terre avant de pointer le canon en direction de ces derniers. Il retenait sa respiration et pointait son regard vers un cavalier qui criait au groupe adverse des ordres. Se fut au tour du canon de pointer le samurai ennemi et le jeune garçon appuya sur la gâchette. Un lourd son semblable au tonnerre résonna et le cavalier tomba, le jeune homme avait atteint sa cible au premier coup de feu. Il dut néanmoins payer un prix fort, son œil droit subit une violente brulure, car son visage était beaucoup trop proche de la poudre noir qui c'était enflammée .
Cependant, cela ne réglait pas le problème des autres troupes qui continuaient l'attaque, bien que n'ayant plus de chef. Pourtant le bruit avait attiré un autre belligérant au combat, des renforts du clan Hôjô. Il était sauvé de justesse avec ses hommes et il cru reconnaître son père parmi les renforts. Le combat continua et prit une triste tournure, un dernier samurai menaçait le père désarmé de Tokimune de son Katana dans l'espoir de fuir vivant avec cet otage. Son jeune fils avec une arquebuse et quelques archers les mettaient en joue. Hésitant, le jeune homme refusait de tirer, de peur de tuer son père. Ce dernier lui ordonna de faire feu et en lui faisant un dernier sourire, il regarda une dernière fois son fils s'exécuter à ses ordres.
Depuis se jour, Tokimune garda l'arquebuse en souvenir de son père et décida de le remplacer sur les premières lignes du front.

Aujourd'hui, le jeune borgne a vingt-sept ans et est parvenu à devenir un officier samurai respecté dans l'armée des Hôjô. Il continue à servir le clan et à se battre pour son daimyo.




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•Prénom (facultatif) : Vincent, mais vous pouvez m'appeler Vinz.
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Isy


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Fiche customisée Inari :



Ota



Nom : Ota
Prénom : Inari
Sexe : Féminin
Age : 21 ans
Clan : Ota
Profession : Chef de clan
Armes : Arc et arme blanche forgée de ses mains





Un don n’est pas une chose matérielle qui se contrôle comme on apprendrait à un enfant à ouvrir une porte. C’est quelque chose de plus subtil, de plus silencieux qui ne se comprend réellement que lorsqu’on s’est compris soit même. Ce don ne s’est montré au monde que le jour où la santé s’est dégradée, ce jour-là même où le monde s’est mis à tourner, que la vision était devenue noire et où les cris lointain d’un père se faisaient de plus en plus muets.
Les armes avaient toujours agis ainsi, une fois portée, elles ne voulaient plus être maniées par un autre. Alors lorsque le monde s’effondra, le don fut découvert ; un bonheur pour un malheur. Influencer l’arme est une chose bénéfique mais aussi maléfique. Obtenir la reconnaissance contre la fermeture des sens. Alors il fallut apprendre, apprendre comment ouvrir une porte pour connaître son vrai soit, apprendre à contrôler ses émotions pour contrôler son monstre, apprendre à vivre pour ne pas regretter.
Les années défilèrent comme les saisons, emportant avec elles de nombreux souvenirs ; certains heureux, d’autres malheureux. Mais une seule ambition avait été atteinte, celle de contrôler enfin ce don. Insuffler une partie de son âme dans une arme pour lui donner vie, pour qu’elle ressente des émotions et les transmettent, pour qu’elle reconnaisse son possesseur et repousse les autres ; tout simplement pour que la solitude ne soit plus présente grâce à une chose matérielle. En échange, l’arme restait toujours au côté de son propriétaire mais sa vie disparaissait en même temps que son porteur ; emportant dans la mort sa solidité et son aura.





Volant à travers le vent, la chevelure ébène s’échappe sauvagement en mèche rebelle. Messager de l’air, une partie reste accrochée indistinctement à l’arrière de son crâne, seulement retenu par un ruban de satin noir qui s’égare dans la brise. Quelques plumes de corbeau y sont accrochés et donne un effet sauvage et naturel à cette toison d’encre. Une barrette de pierres se tient fièrement au-dessus de l’oreille, scintillant à la lueur de l’astre et maintenant les crins, encore trop fin pour être accrochés dans cette masse de noirceur. Agrémentée de tige de métal, forgée en une multitude de complexité ; elle n’est qu’un morceau indistinct. Au-devant, des mèches brunes sont dégagées de chaque côté d’un front blanc mais arborant un symbole unique qui disparaît fréquemment sous le sang.
Une peau de porcelaine tâchée par l’hémoglobine coagulée, ne fait qu’assombrir d’avantage la noirceur de cette chevelure. Sur le bout des oreilles, des boucles pendent comme du cristal, accrochant la lumière et la reflétant ; n’offrant qu’aux yeux des autres, une pâle figure de sécurité. À travers les yeux gris, le monde ne semble qu’avoir quelques teintes de couleurs, toutes plus uniformes les unes que les autres ; pourtant l’univers est constitué de multiples étincelles. Un nez aquilin et des lèvres rosées complète ce visage encore éclatant de jeunesse et dont le sourire fait pétiller ces orbes grisâtres.
La chevelure d’ébène continue de se glisser le long d’une nuque blanche, entourée d’un foulard aux teintes violettes dissimulant un tour-de-cou en cuir ainsi qu’une des nombreuses arabesques inscrites sur ce corps. Les épaules nues ne soutiennent qu’une des multiples lanières entourant son buste et ses bras, permettant ainsi au tissu de tenir et de couvrir l’épiderme lilial. Une poitrine bien formée et dont le derme est découvert par endroit, indique subtilement le sexe de cet organisme.
Relié à la lanière de cuir de l’épaule, deux petites cordelettes s’unissant au milieu du dos, sert d’accroche à la ceinture maintenant tant le tissus vaporeux de la jupe, à la teinte parme, que le carquois où sont rangés cinq flèches couleur nuit. Sur ses bras, le tissu déchiré maintenu par des bretelles de cuir, offre une sensation de sauvagerie et de combat ; dissimulant, essaiment les quelques blessures maculant cet épiderme.
Sur des cuisses musclées par l’exercice, l’acétate couvert de dentelle, tient lieu de retient pour une arme blanche aussi longue qu’un bras et dont la teinte bleutée semble refléter la lumière, lui donnant un aspect fantomatique. Son arc, toujours tenu dans la main gauche, revêtit, quant-à lui, une teinte violacée. Entourées, elles aussi de bande de tissus déchirés maintenu par des lanières de cuir ; des jambes élancées permettent de parcourir plusieurs kilomètres. Au bout de ces dernières, des bottes de cuirs maintiennent les pieds au chaud et à l’abri de la nature.
Perché sur son épaule droite, un corbeau au plumage de jais.





Un mètre soixante et un, qu’est-ce-que cela peut bien représenter ? La réponse ne saura tarder. Remplis de fougue, d’un goût pour l’aventure, c’est quelques centimètres parcourent les territoires qui lui sont inconnus. Découvrant mille et un univers, faisant jaillir des milliers de couleur qui s’inscriront sur ce corps, qui marqueront sa vie. La solitude est une amie connue, dissimulée dans les méandres d’un esprit tournant toujours en accéléré, ne lui laissant jamais le temps de se reposer même dans le plus profond de ses rêves où la vie semble arborer une teinte totalement différente.
Compliqué et à la fois simple, cet esprit est toujours dans l’attende d’une nouvelle aventure pour croquer la vie à pleine dents. S’amuser ? Oui. Tuer ? Seulement si cela est nécessaire. Complexe. L’être humain est complexe dans sa façon de fonctionner mais c’est pour cela qu’il est difficile à contrôler ; toujours en quête de quelque chose de nouveau, toujours à la recherche de la maximisation d’un confort. L’humain est définit et indéfini, car toujours à la recherche de solution, car évoluant toujours.
Commençant d’abord dans le ventre d’une mère, puis respirant sa première bouchée d’un air pur ; il est bien souvent souriant ou triste, mais le sourire fini souvent par faire disparaitre le reste. Les yeux, d’abord innocent, parcourent l’univers qui lui paraît grand. La curiosité déjà présente dès le plus jeune âge, ne fait que grandir au fil des années, des décennies ; apportant avec lui des bonnes et des mauvaises rencontres qui forgeront à coup de grand coup de marteau sa personnalité, sa façon de discerner les choses et les situations, le poussant même à s’enfuir. Alors la peur se fait maitresse d’un monde intérieur et même si elle se retrouve refouler dans des tiroirs, elle trouvera toujours le moyen de pointer le bout de son nez. Mais l’aventure prend le pas, puis vient le goût du risque, celui qui vous fait tout oublier pour seulement vous concentrer sur un seul point, une seule action.
Lorsqu’enfin, le froid engourdit et que l’heure sonne, on court à en perdre haleine pour rejoindre ce foyer chaleureux, source de bonheur. Alors on subit les premières colères, celles que l’on transmettra plus tard à notre progéniture ; cette pensée emplit le cœur de chaleur et de peine, la peur refait surface, des questions inutiles viennent à l’esprit et vous bouleversent au point de ne plus en dormir.
Mais l’on grandit, l’esprit murie, la peine est loin derrière vous et l’espoir à porter de main. Offrir sa force aux autres ? C’est indispensable. Parce que le partage permet de comprendre les autres, de leur montrer ce que vous êtes vraiment à condition de le faire en étant juste. La décision vient souvent de la passion, pourtant la réflexion reste reine de votre esprit et malgré un certain sang-froid apparent, les émotions courent sous la peau attendant sagement l’heure où les brides seront lâches.





Tandis que la flèche fusait vers sa cible, une petite fille se détendait après avoir constaté que son tir avait atteint le centre de sa cible. Bander l’arc l’a blessé souvent et cela mettait à rude épreuve ses bras encore trop fins ; qui plus est, sa posture n’était pas encore parfaite, son dos la faisait donc souffrir à la fin de ses exercices journaliers.
Attrapant d’une main tremblante, la dernière sagaie du carquois, elle banda l’arme et se mis en position. Les jambes légèrement écartées, le dos droit, la main gauche à hauteur de la joue et la main droite soutenant la flèche ; Inari ferma les yeux pour se concentrer sur sa respiration, et elle lâcha sa flèche qui partit se perdre quelques centaines de mètre plus loin. C’était la dixième fois qu’elle ratait sa visée.
Du haut de ses six ans, la gamine qu’elle était s’entrainait à corps perdu. Ce n’était pas une question de fierté paternelle qu’elle voulait obtenir pour se faire reconnaître, ce n’était pas non plus un moyen pour signifier aux autres qu’elle existait ; ce n’était qu’un défi personnel. Cela faisait deux ans qu’elle, et son père, étaient arrivés à Ota ; clan totalement neutre mais réputé pour la qualité de ces membres que l’on disait guerriers.
Deux ans qu’elle avait réellement découvert le monde, lorsque pour la toute première fois, elle avait quitté la forêt où elle habitait. Son géniteur avait subitement voulu lui faire comprendre l’univers dans lequel elle vivait, celui-là même où on l’avait fait naître ; et encore, petite pomme deviendra grande et voyagera par elle-même. Les habitants de ce clan avaient ouvert leur bras pour les accueillir, son père avait dû bifurquer ici-même pour soigner sa petite atteinte d’une forte fièvre.
Lorsqu’au bout d’une semaine complètement, la gamine avait ouvert les yeux, son regard avait croisé celui de Biako, une miko plutôt âgée, qui « avait fait son temps » comme elle le disait si souvent. C’était elle qui l’avait initié au tir à l’arc, elle qui lui avait appris la cueillette d’herbes médicinales, Inari avait arrêté de compter tout ce que cette femme avait fait pour elle. Ce fut-elle qui s’occupa de la jeune fille lorsqu’elle s’écroula subitement dû à son don encore inconnu.
Biako lui donna aussi un nom. Inari n'avait pas eu le bonheur d'être attachée à une famille autre que son père, ce dernier ne gardant aucun lien avec sa propre famille et le côté maternel n'était qu'un ramassis de mensonges vivants. Son paternel avait donc décidé de la laisser sans accroche mais Biako n'avait pas vu cela de la même façon et lui offrit un nom qui lui montrerait directement le chemin de sa maison. Inari Ôta.
Lorsqu’enfin elle fut apte à tirer la totalité des flèches de son carquois sans rater une seule fois sa cible, on l’autorisa à s’aventurer en dehors des frontières dans l’une des nombreuses carrioles d’une guilde venue faire affaire. La demoiselle, devenue quasi femme du haut de ses quatorze ans, avait bien vu la peur dans les yeux de son géniteur, mais c’est d’un large sourire qu’elle avait dit « au revoir » à ce qu’elle considérait comme sa famille.
Pendant deux ans et sept mois, elle avait voyagé à travers les royaumes, avait découvert tous types de régime et c’était finalement dis, que le clan Ota était bien ce qui lui allait le mieux avec sa neutralité exemplaire. Apprenant par la même occasion l’art de la forge, la jeune femme avait développé un talent inné pour cette spécificité. Mais au fond, elle ne désirait que rentrer.
Au cours de son voyage, la jeune femme avait appris que son père était devenu le chef du clan ; le pourquoi restait un mystère qu’elle résoudrait une fois rentrée. Elle n’avait jamais réussi à arracher la réponse à son paternel qui préférait rester muet comme une tombe. Elle avait piqué des colères, était devenue toute douce ; en soit, elle en avait fait voir de toutes les couleurs à tout son entourage, mais ils s’étaient donnés le mot et personne ne lui répondit.
Lorsqu'elle atteignit ses vingt-et-un ans, son père - ainsi que la totalité du clan - lui offrirent la tête de la hiérarchie. Ce ne fut qu'au moment même où elle sentit son empreinte sur le parchemin, qu'Inari compris réellement ce qu'il se passait, le seul mot qui sortit des méandres de son esprit fut :
" Quoi?"





Partie HRP
•Prénom (facultatif) : On va juste garder le surnom Megu ^^
• Âge : 21 ans (non l'âge de mon perso n'a strictement rien à voir)
• Profession (facultatif) : Étudiante en droit/serveuse à temps partiel
• Comment ai-je connu le forum : Par une demande d'aide puis par les fonda'
• Des commentaires ? : Héhé, heureuse de le voir ouvert ce forum =)



Isy


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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyJeu 27 Aoû - 22:54

Fiche customisée Hojo :



Hôjô



Nom : Hôjô
Prénom : Katsuko
Sexe : Mâle
Age : 25 ans
Clan : Hôjô
Profession : Général samouraï
Armes : Katana et Tanto





Une légende raconte l'histoire d'un homme n'ayant jamais connu le goût de son propre sang. Cette légende s'explique par le don particulier de cet homme . Un don ancestral qui ne se transmet qu'au sein de sa famille. Ce pouvoir divin est celui de la régénération des cellules. Effectivement, après un combat, ou lors de ce même combat, Katsuko possède la particularité de se faire fermer toutes les blessures subies. Ainsi nul n'a pu voir la couleur de son sang car les blessures se referment en ne laissant aucune trace visible. Cependant, car il y a toujours un hic, cette régénération a un coût. Effectivement, afin de pouvoir se soigner, il doit sacrifier une partie de son essence vitale. C'est à dire de sa propre vie. Ce qui fait que chaque blessure qu'il soigne lui retire un peu de la vie qu'il lui reste à vivre. Plus la blessure est sévère, plus le coût sera élevé. Si c'est effectué lors d'un combat, et que la blessure est grave, priions pour que Katsuko soit soutenu par un camarade, car il ne serait pas en état de reprendre le combat.

Vous l'aurez compris, le pouvoir que je demande est celui de la régénération des cellules. Lors d'un combat, ou après, mon personnage aura la capacité de soigner les blessures causées à son corps ou à ceux d'alliés éventuels. Ce soin possède un coût élevé.

Si les blessures sont légères (Eraflures, Ouvertures minimes), cela n'a pas d'incidence sur le combat, mais il ne peut pas le faire indéfiniment. Donnons un maximum 4 blessures pouvant êtres soignées. Si la blessure est grave, il ne pourra pas continuer le combat car perte de conscience quelques secondes après le soin.

Nous sommes cependant d'accord que la perte d'un membre ne peut être compensée par cette technique. Tout juste l'hémorragie pourrait être arrêtée. Comme nous sommes dans un forum RP, je pensais que le coût de chaque soin serait une perte de la durée de vie qu'il lui reste. Cela le ferait vieillir à vue d'œil (Cheveux pouvant devenir blancs, et le rester, ou Peau façon Tsunade pendant quelques minutes). Il arrive donc souvent à mon personnage de cracher du sang. Contre coup de l'utilisation de sa technique à travers les années et signe que son corps meurt de l'intérieur.





Katsuko est un beau jeune homme de 181 cm pour 82 kilos. Avec des cheveux noirs et les yeux vert émeraude. Il a un charme certain pouvant désarçonner ses adversaires. Il porte habituellement un haut rouge, gris, et dessus orange et vert avec des bandages sur ses jambes et sur sa main droite.

Grand et relativement imposant, son regard est totalement neutre. Il ne montre jamais ses émotions et son visage garde souvent la même expression. Une cicatrice lui barre le dos, seule marque visible d'un combat d'autrefois. Encore relativement jeune, il lui arrive cependant de cracher du sang pour une raison ignorée de ses camarades.

Sa voix est grave sans être agressive. Il arrive à calmer des conflits dans son clan rien que par sa présence et par son autorité naturelle.





C'est un homme gentil mais redoutable. Toujours d'un calme plat, il analyse froidement chaque situation dans laquelle il devra s'impliquer. Devenu général par la force de ses victoires, mais aussi de part sa généalogie particulière, il a mené de rudes batailles qu'il n'a, semble t-il, jamais perdu. Sarcastique et cynique, il est calculateur et ne s'engage jamais à la légère si le devoir s'en fait sentir.

Fidèle en amitié, il ne trahira jamais une parole donnée. Quand bien même cette parole devrait lui porter préjudice. Il aime les guerres et les batailles mais n'aime pas qu'elles soient vaines et dues uniquement à l'envie de tuer.

Ses batailles doivent avoir une raison logique sinon il n'engagera pas ses hommes. Très attaché à ses derniers, il connaît les noms de chacun des combattants qui combattent à ses côtés.





Né en 1655, il est le petit fils du chef Hôjô qui était en relation avec l'ancien Shogun Miyamoto. Venant d'un clan de guerrier, il est donc depuis tout petit destiné et entraîné à se battre. Au sein de son clan, il est même le descendant de la famille la plus puissante et la plus redoutée. De base il ne devait pas être l'héritier du clan, n'étant que le 2nd fils. La disparition de son grand frère en a décidé autrement.

Devenu général à l'âge de 16 ans, relativement jeune même pour un Samouraï, il a mené ses troupes à de nombreuses victoires. Ayant composé une troupe d'élite au sein de ses hommes, élite le suivant partout et chargée de sa protection, il ne se balade jamais seul. La légende raconte que jamais personne n'a pu le blesser au cours d'un combat. Cette légende raconte aussi que ses hommes sont immortels et qu'eux même n'ont jamais subi la moindre blessure.

Son histoire commence donc à 16ans, l'âge ou il devint général de son armée. Cette promotion il ne la devra qu'à lui même. Une guerre faisait rage entre son clan et un clan rival. Alors en territoire ennemi, lui et ses hommes étaient retranchés dans un bâtiment assiégé. Leur position était connue, leur état de fatigue était avancé. La faim leur entravait les entrailles et ils étaient condamnés à rester silencieux afin de ne pas gaspiller le peu d'énergie qui leur restait. Dans le noir complet, Katsuko gardait les yeux fermés et essayait de reprendre son souffle. Il était alors le plus jeune de l'équipe et venait de voir 3 de ses senpaïs mourir devant ses yeux pendant la fuite. La mort semblait inéluctable. Mais l'espoir demeurait toujours.

Fin stratège, il réfléchissait aux différentes solutions possibles. Il savait que son clan encerclait le village ennemi, mais eux même étaient encerclés dans un bâtiment au sein de ce village. L'ennemi se savait vaincu et il chercherait uniquement à tuer le plus de guerriers possible avant extinction. La capitulation n'étant pas une habitude. La fin n'était qu'une question de minute, et si la porte cédait, l'ennemi serait vaincu. L'information de la présence de l'héritier Hôjô au sein du village avait filtrée. Venus à des fins d'espionnage et de sabotage, leur présence avait été détectée à cause de l'erreur d'un des leurs. Les condamnant à la fuite précipitée.

Le contexte était clair. Leur mission aussi. Ils devaient faire le plus de dégâts possible à l'intérieur afin que l'extérieur soit plus simple à capturer. Et ce, quoi qu'il leur en coûte. La mort au combat étant, après tout, la récompense ultime du samouraï.

S'approchant des 2 senpaïs qui lui restaient, il entreprit de les soigner. Il avait toujours eu ce don, d'où sa présence au sein de l'équipe. Laissant là son équipe, il commença à se diriger vers une sortie. Les ennemis connaissait sa présence, mais ils ne savaient pas combien de guerriers accompagnaient l'héritier. Une fenêtre était ouverte, il s'y faufila et s'aperçu que l'entrée était hautement gardée. La présence de 3 guerriers samouraïs était impressionnante. Ne faisant aucun bruit, il se glissa auprès du 1er et lui tranchât la gorge. Le second ne pu réagir assez vite et sa tête tomba au sol aussi vite que la lame de Katsuko se leva. Le 3ème pu parer le coup et envoya son pied dans le nez du jeune homme, à terre, ce dernier esquiva l'épée qui se présenta devant son visage et, se levant, tenta un Yoko Guruma (Coup horizontal au niveau du ventre). Le coup ne fit qu'effleurer son adversaire qui contre attaqua avec un Gyaku Kesa Giri (Coup diagonale de bas en haut). L'héritier Hôjo para l'attaque grâce à sa vivacité et commença à courir en direction de la porte du village afin de tenter de l'ouvrir et, ainsi, de permettre à son armée d'exterminer l'adversaire.

Les deux hommes se faisaient donc face. Les coups pleuvaient et les katanas s'entrechoquaient. Les tentatives étaient nombreuses mais peu de coups atteignaient leur cible. L'adversaire était redoutable et possédait une force physique que le jeune homme n'avait pas encore, mais ce dernier arrivait à esquiver les coups grâce à son agilité. La porte était maintenant à sa portée, mais son adversaire commençait à prendre le dessus. De l'autre côté, nous pouvions entendre les chants guerriers et les cris de ses camarades, de son clan. Cette perspective redonna force et courage à Katsuko et il attaqua son adversaire avec plus de vigueur, plus de conviction.

Mais la fatigue n'était pas complétement éteinte. Si le combat continuait, tôt ou tard il mourrait. C'était une évidence qu'il accepta rapidement. Concentrant son énergie, comme lorsqu'il soignait son équipe. L'armée ennemie n'avait pas le temps de s'occuper de sa présence. Les projectiles pleuvaient et elle devait trouver une solution pour éliminer l'armée qui assiégeait son village. Le mano-mano continuait, et les coups étaient de plus en plus difficiles à esquiver. Il avait été touché à l'aine et à l'abdomen. Du sang s'écoulait de sa joue et son épaule était douloureuse. Sûrement déboitée. Il ne pourrait donc plus tenir bien longtemps.

Acculé contre une porte du village, il sentait le sang couler le long de son corps, comme la vie qui s'échappait. Son énergie était maintenant suffisamment concentrée. Il savait que le geste serait dangereux, mais c'était sa dernière chance. D'un petit bon sur le côté, il esquiva l'attaque et couru en direction du levier permettant d'ouvrir la porte. Cette feinte perturba rapidement son vis-à-vis, qui se mit immédiatement à sa poursuite, une hache à la main et le Katana dans la seconde. Lorsque la main de Katsuko se leva en direction du levier, le Katana rata son coup.

Lorsqu'il abaissa le levier, la hache termina dans son dos, déchirant la peau et les muscles. Il tomba au sol alors que les portes s'ouvraient. Son adversaire était face à lui et ne compris pas immédiatement ce qui se passait lorsque la hache tomba au sol et qu'il reçu un coup de katana dans le cœur. Son regard s'attarda sur Katsuko, le coup aurait dû tuer le gamin. La hache était ensanglantée, elle n'avait pas ratée sa cible. Impossible. Alors le môme enfonça l'arme plus profondément. A telle point que la pointe déchira l'arrière des vêtements de son adversaire. Il tomba au sol ainsi. Le sourire de Katsuko fût sûrement la dernière chose qu'il aperçu, et sa voix la dernière qu'il entendit.

- Le don maudit des Hôjô de ma famille. Je suis capable de régénérer les cellules de mon corps lorsque celles-ci sont touchées ou détruites. En échange d'une partie du reste de ma vie. Tu ne m'as pas tué maintenant, mais sois content, tu m'as coûté près de 3 ans de vie. Sans ma technique, je serais mort.

Le sourire aux lèvres, le gamin tomba à la renverse. Il fût secouru par des hommes de son clan. Une touffe de ses cheveux était devenue blanche. Et sa main gauche montrait des signes de vieillesse avancée. Et ainsi commença sa légende.




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• Des commentaires ? : J'ai peur que la couleur du fond perturbe les couleurs dans le texte.



Isy


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MessageSujet: Re: Nouvelles fiches (en cours)   Nouvelles fiches (en cours) EmptyVen 4 Sep - 14:37



Bashôsen



Nom : Bashôsen
Prénom : Tomoe
Sexe : Femme
Age : 25 ans
Clan : Uesugi
Profession : Onmyoji
Armes : Tessen, tanto





Tomoe possède le don de guérison. En effet, lorsque la Lune vient remplacer le soleil, la jeune femme peut soigner tout être qu'elle touche. Malheureusement, cela n'est pas sans risque, puisque son œil droit se noircit et sa pupille se rougie, la mélanine contenue dans ses yeux se détruisant pendant l'utilisation, la rendant provisoirement aveugle de cet oeil et lui donnant maux de tête et à ce dernier pendant la création de mélanine. L'intensité des douleurs dépend de ce qu'elle doit restaurer. Une personne mourante ou trop gravement blessée se verra seulement soulagée de ses douleurs. Le pire étant arrivée pour Tomoe, celle-ci en a perdu la couleur de ses cheveux et a vu la couleur de ses yeux devenir dorés.
La demoiselle possède également la faculté de savoir prédire le temps ainsi que protéger les êtres des esprits grâce à des sceaux.





Marchant simplement sur les planche de bois de sa maison, une silhouette se laisse distinguer. D'environ un mètre soixante cette dernière paraît pourtant ne pas provenir de ce monde là. La première chose que l'on distingue, c'est sa chevelure. Une chevelure semblable à la Lune. Elle se balance au gré des mouvement de sa propriétaire. Ils sont néanmoins emprisonnés dans un étau de tissu semblable à ses propre cheveux. Des rubans rouges égaient cette chevelure de leur présence, s'enroulant et formant une boucle sur le tissu pour éviter qu'il ne glisse. Etrangement, les mèches parcourant le dessus de son crâne sont coupées court même si deux d'entre-elles sont suffisamment longues pour venir manger une partie des joues de la demoiselle, remontant brusquement pour finalement encercler son crâne et cacher son front alors qu'une mèche au milieu de celui-ci vient rendre une forme de pique.

S'arrêtant calmement, le visage de la demoiselle se tourne vers l'astre lunaire. La lumière se posant sur le faible pourcentage de peau visible qui la rend encore plus irréelle tant elle se montre immaculée et sans aucune trace de cicatrice, à part peut-être cet étrange tatouage sur la moitié de sa joue droite, formant comme une queue de serpent, venant poursuivre sa course sur le cou de la demoiselle et disparaissant sous ses vêtements. Devenue plus faible à cause de son utilisation abusive de son don, la jeune femme porte souvent sur son épaule une ombrelle pour se cacher de l'astre solaire et ainsi éviter les brûlures.
Ses yeux sont dérangeants pour beaucoup, d'un doré mystique, lorsque la nuit tombe, ils paraissent s'envelopper et montrer une facette reptilienne, bien que cela ne soit que purs rumeurs qu'elle-même s'amuse à entendre. Sur ses paupières et sur le bord de ses yeux, elle dépose souvent une marque rouge, attirant le regard. Ses sourcils quant à eux, cachés par ses cheveux, ne sont que des points se situant au commencement de ces derniers. Son nez est fin et droit alors que ses lèvres ne semblent pas se montrer charnues mais seulement rosées, laissant s'échapper un soupire avant de rediriger son visage arrondi vers le chemin qu'elle empruntait précédemment.
A vrai dire, Tomoe sait pertinemment que son apparence peu en dérouter plus d'un, mais elle s'en fiche. Ce n'est pas avec sa beauté qu'elle peut aider le peuple mais bien avec ses capacités.

Alors qu'elle reprend sa marche, laissant la trace de son tatouage amener l'oeil vers le col de son kimono. Un uniforme que chaque Onmyoji de son clan porte en signe d'adhésion. Le kimono qu'elle arbore est blanc aux manches longues. Ses pas permettent de voir une partie de ses chevilles recouvertes de chaussettes tout aussi immaculées et des getas noires de 5 cm. Sur ces vêtements, elle porte un surplis noir aux bordures rouges laissant le col dégagé.

Elle tapote alors son menton avec son éventail fermé, d'une couleur sombre dans sa main gauche. Bien que gauchère de naissance, cette dernière a dû agir en tant que droitière, montrant autant de grâce et de facilité dans ses gestes qu'ils soient d'une main ou de l'autre. Il est d'ailleurs difficile de voir son deuxième tessen sur ses vêtements, ainsi que son tanto. Malgré tout cela, il se dégage d'elle une sensation de tranquillité, Sa main se posa au niveau de celui-ci alors que de l'autre, elle fit coulisser l'ouverture de sa chambre, la refermant derrière elle.





Cette jeune femme pourrait apparaître comme une simple demoiselle, sans aucun soucis, vivant sa vie comme elle vient, sans se préoccuper de demain. On pourrait presque croire qu'elle se fiche outrageusement de ce qui se passe autour d'elle, mais c'est une tout autre vérité qui se révèle. D'ailleurs elle garde souvent et lorsqu'elle le peut, une attitude stoïque, qui la poussera à accepter tout les événements qui pourraient lui arriver, même les plus étranges. Cette façon de faire lui est souvent reprochée par ses proches, puisque celle-ci l'entraine à « oublier » sa propre personne pour les autres, même si cela lui permet d'affronter des évènements et de les accepter plus facilement et plus rapidement que les autres, même si elle en est la victime. Ce qui est déstabilisant en sachant qu'elle n'aura aucunement peur de mourir ou d'affronter certains problèmes en sachant qu'elle peut y laisser facilement sa peau. Cela n'est pas au point d'être réellement suicidaire, elle ne le fait pas parce qu'elle recherche la mort, mais bien pour les autres.
Bien que son rôle d'Onmyoji soit utilisé par les nobles, la jeune femme ne se dérange pas pour descendre aider le peuple et tenter de les soulager de quelques maux sans chercher un quelconque remboursement ou reconnaissance.

Tomoe pourrait être le genre de personne à casser la vision que l'on pourrait se faire de quelqu'un de la religion. Sans aller blasphémer, la jeune femme n'aura pas peur de donner son point de vue comme il vient,tout en restant polie. Femme instruite dans certains domaines comme celui de la stratégie ou de ceux de l'onmyodo, elle n'appréciera pourtant pas regarder un combat ou voir le sang couler.
Assez tête en l'air, lorsqu'elle est perdue dans ses pensées, il n'est pas rare de la voir tapoter son tessen contre son menton, le regard dirigé vers le ciel ou sur l'objet de ses réflexions.
Son rôle de femme l'a obligé a apprendre les bases comme la danse, la musique en particulier le koto qu'elle affectionne tout particulièrement ou même le chant.

Elle n'est pas douée pour ce qui est de donner de l'affection pour autrui, préférant simplement sourire ou tapoter son éventail sur la tête d'un enfant. Tomoe aura beau chercher, les mots réconfortants et l'instinct maternel ne sont visiblement pas prévu dans sa matière grise. Elle ne fait confiance que rarement, préférant garder ses propres soucis et son histoire personnelle pour elle-même. Blessée et fragile, elle montre sans cesse un sourire pour faire oublier cet état de fait et faire passer les autres avant.





Son père, l'ancien chef de famille était quelqu'un de respecté, quelqu'un sur lequel même les nobles les plus réticents faisaient confiance. La jeune Tomoe a toujours vu son géniteur comme la personne à idolâtrer, celui qui malgré son rôle avait su passer du temps avec sa fille pour lui instaurer les bases de l'onmyodo et ainsi lui permettre de lui succéder. Il ne souhaita pas d'autres enfants, sa femme, trop fragile au niveau de sa santé, ne pourrait supporter une seconde grossesse sans y perdre la vie. Et malgré le mariage arrangé entre lui et elle, il avait malgré tout développé si ce n'était de l'amour, de l'attachement pour ne pas aller trouver une concubine pour lui enfanter un mâle. On la tatoua d'ailleurs du symbole de sa famille, présent sur sa joue et le reste de son corps, bien que camouflé.

Bien que la jeune fillette ne suivait pas son père lorsqu'il allait aider les nobles, elle continuait de s'entrainer à la confection de sceaux et en divination ainsi qu'en astronomie. Lorsqu'elle le pouvait, elle descendait dans le village pour donner les prévisions et ainsi permettre aux villageois d'avoir de meilleures récoltes et ainsi prospérer.
Elle appréciait tout particulièrement l'astronomie, connaître le placement de cet univers céleste. Mais ce qu'elle aimait plus que tout, était de pouvoir contempler la Lune à sa guise. Comme attirée par celle-ci. Il n'était pas rare de la voir sur l'herbe, allongée sur le sol, immobile et rester là pendant un long moment.

C'est à l'âge de 8 ans qu'on lui offrit son Tessen et le deuxième l'année d'après, ils ressemblaient à des éventails normaux, bien qu'en réalité ils soient fait en métal tranchant. Pourquoi ? Un onmyoji doit être capable de se défendre contre tout les imprévus, qu'ils soient mystiques ou physiques. C'est ainsi que l'on apprit à s'en servir, bien que le résultat ne ressemble plus à une danse mortelle qu'à un enchainement de postures. La demoiselle reçut de sa propre mère son tanto qu'elle dissimula sur elle, comme la plupart des jeunes femmes faisait en ville.

Son père commença à l'initier à l'âge de 12 ans à tout ce qui était commandement de la famille. Tomoe elle, ni voyait la rien d'autre qu'un apprentissage nouveau et prit plaisir à le faire en compagnie de son père. Pourtant celui-ci commença à tousser, de plus en plus fréquemment et sa fille ne parvint jamais à l'accompagner dehors en pleine nuit pour tenter de le soigner. En effet, la jeune fille à présent âgée de 14 ans avait hasardeusement trouvé son don en récupérant un pauvre chat qui s'était fait blesser par un autre. Celui ci avait alors retrouvé sa vigueur et s'était simplement enfui en la griffant, mais elle n'eut pas la chance de se faire soigner.
Tomoe essaya alors sur des blessures légères, d'abord sur de simples enfants trainant dans les rues. Mais à force, la douleur se ressentit bien plus qu'elle ne l'aurait dû et une goutte de sang coula sur sa joue pour venir s'échouer sur le sol. La jeune fille passa le dos de sa main sur ce qu'elle sentait couler avant de fixer bêtement la trace rougeâtre sur sa main. Elle remarqua également une baisse subite de la vision sur le côté droit en concluant facilement que c'était son don, espérant néanmoins que ce ne soit as définitif. Lorsqu'elle rentra chez elle et s'observa, l'onmyoji en herbe ne put s'empêcher de regarder sous tout les angles cette œil étrange qui venait de se mettre en place. Malgré cela, elle préféra ne pas en parler et éviter d'inquiéter son entourage, paliant son manque de vision avec sa connaissance des lieux.

Lorsque le lendemain, en se levant elle aperçut son œil et sa vision normale, elle soupira de soulagement avant de reprendre ses activité habituelles. Elle continuait de d'aider dans la demeure la journée. La nuit était simplement consacrée à l'aider des villageois, dans la mesure du possible, bien qu'il n'était pas rare qu'elle aide jusqu'à se frapper la tête contre un mur tant la douleur était forte.

Cela dura un an, un an avant que son père ne tombe mortellement malade. Il n'allait pas tenir bien longtemps, pourtant, il ne laissa pas la tristesse transparaitre sur son visage alors que sa femme et sa fille était présent. La nuit tombée, et sans son consentement, la jeune fille attrapa l'une de ses mains, espérant le soigner comme elle l'avait fait tant de fois auparavant. Elle savait que si elle n'y arriverait pas, alors c'était peine perdu, qu'il ne verrait pas le prochain matin. Elle soupira donc, sentant déjà son œil verser une larme de sang. La jeune onmyoji continua malgré la douleur, s'efforçant de ne pas lacher la main et de retenir les quelques plaintes venant de sa tête et de son œil. Le sang se mêla aux larmes, alors qu'elle sentait la pression sur sa main s'affaiblir. Posant son regard sur le mourant, elle ne le vit qu'à moitié, l'autre ayant déjà utilisé le maximum. La jeune fille l'attrapa délicatement avant de le serrer contre elle, la douleur était insupportable pourtant elle ne lâcha pas. Et ne parut pas se rendre compte du changement de couleur s'opérant sur ses cheveux et ses yeux.
Elle resta là, sentant malgré tout ses effort le poids devenir plus grand et savoir qu'il n'y avait plus rien à faire à part attendre et espérant le faire partir sans souffrance.

Sa mère, bien que fragile, fut là à son réveil. Un drap avait été posé sur la tête du défunt, et des bandages avaient été enroulé autour de la tête pour cacher son œil droit. La douleur encore trop présente étourdit Tomoe, qui du se tenir pour se redresser. Elle s'approcha de sa mère qui l'entoura dans une embrassade où les larmes et les sanglots remplacèrent le silence.
L'enterrement se fit dans le plus profond respect. L'on attendit un an avant de placer Tomoe à la place de son père, qui ne souhaitait qu'elle pour reprendre le flambeau de la lignée des Onmyoji. Depuis, elle balance entre son activité de prêtresse et celle de guérisseuse, tentant de donner une bonne image de sa famille à travers le pays.




Partie HRP
•Prénom (facultatif) : Tomoe suffira
• Âge : 20 ans
• Profession (facultatif) : Encore en étude pour un moment
• Comment ai-je connu le forum : Par hasard
• Des commentaires ? : Pas vraiment pour l'instant



Isy
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